Les images, prises par le photographe Léopold Duchemin pour la marque, de chaussures en lambeaux et en détresse sont devenues virales après le lancement lundi de la nouvelle sneaker parisienne de la marque de couture, avec indignation face à l’apparition des hauts hauts tourbillonnant en ligne.
Selon la maison de couture, seules 100 paires de baskets “extra destroy” seront disponibles à l’achat pour 1 850 $. Pendant ce temps, l’édition non limitée et les versions moins brutes sont vendues sur le site Web de Balenciaga pour 495 $ et 625 $, selon le style spécifique.
Les baskets Balenciaga “extrêmement usées” font sourciller en ligne. Crédit: Avec l’aimable autorisation de Balenciaga
Dans un communiqué de presse, la marque basée à Paris a déclaré que les photos de la campagne montrent les chaussures “extrêmement usées, marquées et salies”.

Un exemple de la version moins brute de la sneaker, disponible en précommande pour 625$ sur le site de Balenciaga. Crédit: Avec l’aimable autorisation de Balenciaga
Demna est connu pour son flair perturbateur et le lancement de baskets à Paris n’est pas la première fois que ses créations suscitent des réactions perplexes.
Balenciaga décrit la sneaker comme un “design classique réorganisé”, qui est fini avec “une toile vieillie et des bords rugueux, affectant un look pré-usé”.
Les réactions en ligne à la sneaker Paris ont été mitigées.
Mais tout le monde ne pense pas que les baskets valent la peine d’être moquées.
Le jury semble ne pas savoir si cette dernière initiative marketing mérite des éloges ou du ridicule. Quoi qu’il en soit, Demna et Balenciaga ont une fois de plus fait parler les gens, attirant sans aucun doute beaucoup vers une marque qui semble de plus en plus à l’aise avec la controverse.
Image du haut : images de campagne de la sneaker Paris de Balenciaga.
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